Alexei Birioukov termine notre entretien ainsi : « Au sein du Sirba Octet, on joue en liberté. Bien sûr, nous jouons ensemble. Bien sûr, il y les partitions et les arrangements mais on a le temps de s’amuser. On a le temps de sourire et de faire toutes les choses qui font rire la musique. » Cette phrase, sortie du coeur, donne la clé de toutes les photographies de l’artiste. Toujours au sourire et au plaisir vif de faire entendre au public le son magique de son instrument : la balalaïka (…)
L’article d’Anne-Sandrine Di Girolamo, publié sur Gang Flow, le magazine de la musique classique, à lire en intégralité ici.